Les voitures défilent sur la place de la Concorde, tandis que les bateaux mouche passant sur la Seine effacent de leurs puissants projecteurs une Tour Eiffel bleu Europe déjà noyée dans la brume.
La Place de la Concorde la nuit
Photo d’un lieu o๠faisait rage un capitalisme financier débridé…
Wall Street, Manhattan downtown (New-York, USA)
Lorsqu’on fait allusion aux gaz à effets de serre produits par l’activité humaine et qui influent sur l’évolution climatique que tout le monde connaà®t, nous pensons tous au dioxyde de carbone (CO²), émis entre autres par nos véhicules, nos centrales électriques (pour celles qui fonctionnent à partir d’énergies fossiles telles que pétrole, charbon, gaz…), les chaudières utilisées pour chauffer nos habitations, etc… Mais il y a aussi bon nombre d’autres gaz produits par l’homme qui agissent sur l’effet de serre. Parmi eux, on trouve par exemple le méthane (CH4), produit notamment de l’industrie agricole (conséquence des engrais azotés, « pets » des bovins, etc…), et qui a un effet sur le climat environs 20 fois plus important que le CO².  D’autres gaz on aussi leur effet, et le petit dernier à ajouter à la liste et dont la communauté scientifique sait depuis peu quantifier la présence dans l’atmosphère : le gaz NF3 (trifluorure d’azote), qui aurait un effet 17.000 fois plus « réchauffant », excusez du peu !!!  Phénomène encore plus préoccupant si l’on sait que la quantité de NF3, qui a été estimée à 5400 tonnes, progresse de 11% par an. Petit calcul rapide, 5 400×17 000=l’équivalent de 91 800 000 tonnes de CO²…
On n’a pas fini d’entendre parler de réchauffement climatique.
(source Notre-planete.info)
Une chimère observe patiemment le parvis de la cathédrale Notre Dame de Paris…
Chimère sur une des tours de Notre Dame de Paris.
En arrière plan : La Seine et la Tour Eiffel
Un magnifique bouleau photographié dans la vallée du ru des Vaux de Cernay, au niveau du bois des cinq cent arpens (forêt domaniale de Rambouillet).
Un bouleau en automne
J’avais découvert cette vallée vendredi dernier, et bien apprécié le calme et la sérénité de ce lieu, en plein coeur de la Haute Vallée de Chevreuse…  Lundi fut une bien belle journée d’automne, très ensoleillée. C’était l’occasion de retourner faire une petite balade dans les Vaux de Cernay, et de reprendre une bonne bouffée de nature à moins d’une heure de Paris.  En amont, le ru des Vaux coule tranquillement, serpentant au milieu des marais des Vaux de Cernay, pour finir sa course dans l’étang de Cernay. En aval de la digue, au niveau du moulin des Cascades, l’eau de l’étang prend de la vitesse, se frayant un chemin entre les rochers de grès des Cascades et rochers des Vaux de Cernay. Des eaux vives et bouillonantes et un chaos rocheux facilement accessibles à partir du parking (le long de la D91) en aval du Petit Moulin, o๠se trouve un escalier puis un ponton en bois permettant d’enjamber roche glissante, ruisseau et bourbier. En remontant le cours du ruisseau on atteint rapidement l’étang de Cernay pour arriver ensuite au niveau de l’Abbaye des Vaux de Cernay moins de deux kilomètres en amont. Plus en amont, passé l’abbaye et son étang, le sentier devient plus étroit, marécageux ou glissant le long du tortueux ruisseau. Mais vous pouvez éviter cette partie en montant sur le plateau (en empruntant le GR1), à travers le bois des Cinq cent arpents,  pour ensuite redescendre vers le ruisseau au niveau du pont de Grandval.
Quelques informations utiles :
Cascades et ruisseau bouillonant dans les Vaux de Cernay, en plein coeur du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse (forêt domaniale de Rambouillet)