Mais qu’est-ce donc ?

Cela peut arriver souvent quand on n’est ni jardinier ni agronome de trouver une plante intéressante, et de ne pas arriver à  l’identifier. En tout cas personnellement cela m’arrive fréquemment. En voici un bel exemple, en me promenant hier dans le Parc Montsouris, je trouve ce petit buisson effeuillé et sur lequel poussent ces grappes de baies d’un violet bien vif, presque fluo. Et impossible de savoir ce que c’est… J’immortalise quand même sur mon Nikon cette plante autant « mystérieuse » que photogénique, et je regarde autour de moi, même pas un jardinier pour me renseigner, et bien entendu pas de petit écriteau comme on peut en voir de temps en temps pour décrire l’essence et l’origine de telle plante ou tel arbre. Si quelqu’un(e) a une idée (cliquez sur la photo), elle est la bienvenue. En attendant, c’est mystère et boule de gomme 😉

Photo du jour : aiguille et falaises

L’aiguille de Belval, photographiée ici depuis le sentier du littoral qui longe les falaises de la côte d’albà¢tre, au nord d’Etretat. Ce splendide menhir naturel, sculpté par les assauts incessants des vagues et marées sur les falaises calcaires est ici entouré d’une belle mer bleu turquoise. Sur cette photo, on distingue également le roc Vaudieu sur la gauche et, à  la limite de l’horizon, l’arche de la porte d’Amont.

Alignement entre la porte d’Amont, le roc Vaudieu, et l’aiguille de Belval

Photo du jour : un grand hêtre en automne

C’est à  pied que ce matin je me suis rendu au salon de la Photo, pour une bonne promenade matinale dans les rues de Paris, le long des maréchaux et du tramway. Sur le trajet, je passe à  côté du Parc Montsouris qui revêt actuellement de bien belles couleurs d’automne. Et, comme à  chaque fois, c’est plus fort que moi : j’ai du mal à Â  résister à  la tentation de photographier ce petit coin de nature urbaine… 😉

Un hêtre en automne

Salon de la Photo

Depuis ce matin et jusqu’au 17 novembre se déroule à  Paris Expo (Porte de Versailles) le rendez-vous annuel des photographes, qu’ils soient simples curieux, amateurs ou professionnels, et o๠sont présentées les dernières nouveautés tant sur le plan matériel, accessoire que logiciel.

Et justement c’était l’occasion d’y faire un saut, après tout il faut bien que je commence à  songer au remplacement mon petit Nikon D50, qui malgré sa jeunesse toute relative -un peu moins de 3 ans, mais 32000 déclenchements au compteur- tend à  montrer ses premiers signes de fatigue. Le salon de la photo est bien le lieu o๠on peut se permettre de rêver à  son futur matériel photo, et même de faire joujou avec, justement, quelques modèles de rêve, au demeurant superbes mais aux tarifs inaccessibles pour le photographe amateur (tel le Sony Alpha 900, ou le Nikon D3). Puis c’est le retour à  la réalité pour se renseigner plus précisément sur les matériels plus abordables. Bon allez, après mon passage au stand de Nikon, j’y embarque quelques fiches produits  : celle du D90 pour l’accessible et celle D300 pour la part de rêve, tout en me disant que je ferai quand même durer mon D50 encore quelques temps…  Puis c’est l’occasion d’y voir quelques expos photos, ou d’écouter les intervenants de certains stands y décrire tantôt leur produit phare, tantôt leur expérience de photographe.

Plus d’infos : le site officiel du Salon de la Photo 2008.

Le Salon de la Photo 2008

Photo du jour : à‰tang du Grec et du Méjean

L’étang du Méjean, souvent subdivisé plusieurs zones (le Méjean à  l’ouest, l’étang de Pérols à  l’est, et l’étang du Grec au sud, lequel est séparé des deux autres par le canal du Rhône à  Sète), est photographié ici depuis la route reliant la station balnéaire de Carnon à  celle de Palavas-les-Flots. Ces étangs sont situés à  quelques kilomètres seulement de Montpellier. Ainsi, malgré la proximité de cette grande agglomération urbaine, cette zone lagunaire séparée de la mer par le lido (cet étroit cordon sableux sur lequel ont été bà¢ties Carnon et Palavas), a pu conserver un certain aspect sauvage, avec une flore, composée de marais saumà¢tres, et une faune très riches. Le nord de l’étang comprend des espaces naturels protégés, situés sur la commune de Lattes (sur la rive d’en face sur cette photo). Et lorsque vous passerez à  proximité de cet étang, vous aurez de grandes chances d’y apercevoir quelques flamands roses

à‰tang du Méjean