Feuilles et glands de chêne sur lit de mousse photographiés dans la forêt de Sénart cet automne.
Une feuille de bouleau, et quelques glands et feuilles de chêne poussés par les vents d’automne sur cette vieille souche d’arbre recouverte de mousse.
Feuilles et glands de chêne sur lit de mousse photographiés dans la forêt de Sénart cet automne.
Une feuille de bouleau, et quelques glands et feuilles de chêne poussés par les vents d’automne sur cette vieille souche d’arbre recouverte de mousse.
Quelques fougères en automne, photographiées dans la forêt de Montmorency. Elles inondaient le sous-bois de leurs feuilles oranges, illuminées par les quelques rayons qui avaient pu se frayer un passage à travers les branches des pins.
Fougères dans les sous-bois de la forêt de Montmorency
Les Gorges de Franchard sont un des lieux les plus fréquentés de la forêt de Fontainebleau. Un site qui a été aménagé par endroits pour le préserver de l’érosion due au passage incessant des nombreux promeneurs. Le parking, accessible depuis la D301, est situé à côté de bà¢timents de l’ONF, et de nombreux panneaux vous y présenteront le circuit de promenade, ainsi que des détails très intéressants sur l’histoire, la géologie, la faune ou la flore de la forêt de Fontainebleau. On trouve également à proximité deux réserves biologiques, dont une réserve biologique intégrale o๠l’accès et l’intervention de l’homme ne sont pas permis.
Départ en direction de la roche qui pleure pour un peu plus de deux heures de promenade (je prends mon temps… et des photos, le circuit pouvant en réalité être fait en à peu près 1h). J’entame cette petite balade sur les platières, entre chemins sableux et rochers gréseux. En cours de route je longe de nombreuses petites mares bordées d’herbe jaunie sur un sentier qui surplombe le chaos rocheux au dessus des Gorges de Franchard. Aux chênes ou bouleaux effeuillés succèdent des résineux bien verts, tandis qu’au sol s’alternent fougères et bruyères. Par endroit entre les failles séparant deux gros blocs de grès, quelques marques peintes à même le roc symbolisent les circuits destinés aux amateurs de varappe qui viennent pratiquer leur passion de la grimpe sur l’ensemble du massif de Fontainebleau. Sur la fin du sentier des platières, le circuit de promenade bifurque sur la droite vers un escalier de caillebotis protégeant de l’érosion la pente de sable. Mais je descend plutôt sur la gauche, par un sentier pavé de pierres taillées dans le grès, en direction des Gorges de Franchard et de la Route Amédée. Celle-ci est barrée à mi-chemin : la zone est interdite d’accès en raison de roches instables sur ces pentes sableuses. Je continue donc sur la route des Gorges de Franchard en passant non loin de l’Antre des Druides. La brume, le quasi silence et le froid environnants contribuent à donner une ambiance presque mystérieuse à ce lieu. Je fais un petit détour jusqu’au carrefour St Mégrin, o๠se trouve un Séquoia géant qui, avec son écorce brun rougeà¢tre et ses branchages denses et bien verts, détone un peu avec les chênes ou hêtre effeuillés en cette fin d’automne. Petite pause assis sur le banc à proximité du Séquoia, puis je reprends la promenade pour passer à côté de la Mare aux pigeons , située à quelques centaines de mètres du parking.
Platières et chaos rocheux au dessus des Gorges de Franchard
Un chêne effeuillé, aux branches joliment incurvées et recouvertes de mousse, photographié à proximité de l’Antre des Druides dans la forêt de Fontainebleau. Un endroit qui portait bien son nom tant la brume et le soleil voilé qu’il y avait encore à mi-journée contribuaient à cette ambiance mystique…
Un chêne dans l’Andre des Druides (Gorges de Franchard, Forêt de Fontainebleau)
Pins se reflétant dans les eaux de la Mare aux pigeons, à proximité des Gorges de Franchard dans la forêt de Fontainebleau.
Mare aux Pigeons, Gorges de Franchard (Forêt de Fontainebleau)
Promenade une après-midi de fin d’automne le long d’une des routes forestières bordée de chênes dans la forêt de Sénart.Â
Forêt de Sénart
C’est un après-midi de fin d’automne, je me gare sur le parking du carrefour du Chêne d’Antin, pour une petite promenade le long des routes forestières qui quadrillent la forêt de Sénart. Les grands chênes ont tous perdus leurs feuilles qui crissent encore sous les pas, tandis que les fougères en sous-bois arborent des couleurs allant de l’orange au rouge sombre. Je passe à côté de plusieurs mares et zones humides après avoir contourné un vieux chêne qui me contemple avec sagesse du haut de ses cinq siècles, et rencontre quelques promeneurs à la recherche de champignons, assez rares en cette fin de saison. Puis je finis par tomber sur des prairies humides, grands espaces qui contrastent avec le confinement des routes forestières traversées plus tôt. Le ciel est nuageux et laisse filtrer de temps à autres quelques gouttes de pluie, puis voilà enfin une courte éclaircie, c’est le moment de sortir mon reflex:
Prairie dans la forêt de Sénart