Les américains sont souvent taxés d’être capables du pire comme du meilleur, mais cette nuit c’est pour une fois le meilleur, dans tous les sens du terme, qui est sorti des urnes, avec un nouvel espoir pour nos voisins d’outre-Atlantique. En période de crises financière et économique doublées d’une crise environnementale majeure annoncée, c’est aussi un sacré soulagement pour le reste du monde (rappelez vous entre-autres la vision de Sarah Palin sur la protection de l’environnement, cela donnait quelques frissons d’horreur…). Il n’en reste pas moins qu’à partir du mois de janvier Barack Obama va devoir traà®ner le boulet de la politique de son prédécesseur. Souhaitons-lui bon courage…
Statue de la Liberté, New-York, USA