Un glacier, tel un fleuve gelé, se déverse dans une mer de nuages au pied du Mont Blanc. Photographie prise depuis l’Aiguille du Midi.
Un fleuve de glace sur les pentes du Mont Blanc
Un glacier, tel un fleuve gelé, se déverse dans une mer de nuages au pied du Mont Blanc. Photographie prise depuis l’Aiguille du Midi.
Un fleuve de glace sur les pentes du Mont Blanc
Alignement du Roc Vaudieu et de l’aiguille de Belval, photographié depuis la falaise d’Amont (Etretat, Haute-Normandie).
Falaises Normandes : Roc de Vaudieu et aiguille de Belval
Paysage d’hiver photographié dans une campagne lozérienne recouverte de givre. Il faisait -11 °C en milieu de journée, brrrr !
Le givre recouvre de son drap blanc la campagne lozérienne…
Roche grayeuse en équilibre photographiée à proximité des gorges d’Apremont et de Barbizon dans la forêt de Fontainebleau.
Rocher en équilibre
Ces vastes paysages caussenards, typiques par leur apparence sauvage et désertique, n’en sont pas moins marqués par des traces parfois très anciennes de présence humaine (menhirs, dolmens). On y trouvera notamment de nombreuses mais petites surfaces cultivées, conquêtes de l’homme sur un sol calcaire plutôt ingrat, et épousant les lignes ondulées de ces collines modelées par l’érosion. Une région au climat parfois rude, que l’homme a su au fil des siècles gérer de faà§on rationelle et responsable.
Paysage caussenard
Photo prise en 2007 dans le ciel italien, peu après avoir traversé l’Adriatique et survolé l’ex-Yougoslavie. J’ai un très bon souvenir de ce voyage de retour depuis la Macédoine et de ces quelques « photos aériennes« , que je prenais à travers le hublot pendant que mon petit dernier, à¢gé de 18 mois, dormait paisiblement sur mes genoux. Normal, ce petit ange était sur son nuage…
Photo d’un tapis de nuages au-dessus du ciel Italien
Les Gorges de Franchard sont un des lieux les plus fréquentés de la forêt de Fontainebleau. Un site qui a été aménagé par endroits pour le préserver de l’érosion due au passage incessant des nombreux promeneurs. Le parking, accessible depuis la D301, est situé à côté de bà¢timents de l’ONF, et de nombreux panneaux vous y présenteront le circuit de promenade, ainsi que des détails très intéressants sur l’histoire, la géologie, la faune ou la flore de la forêt de Fontainebleau. On trouve également à proximité deux réserves biologiques, dont une réserve biologique intégrale o๠l’accès et l’intervention de l’homme ne sont pas permis.
Départ en direction de la roche qui pleure pour un peu plus de deux heures de promenade (je prends mon temps… et des photos, le circuit pouvant en réalité être fait en à peu près 1h). J’entame cette petite balade sur les platières, entre chemins sableux et rochers gréseux. En cours de route je longe de nombreuses petites mares bordées d’herbe jaunie sur un sentier qui surplombe le chaos rocheux au dessus des Gorges de Franchard. Aux chênes ou bouleaux effeuillés succèdent des résineux bien verts, tandis qu’au sol s’alternent fougères et bruyères. Par endroit entre les failles séparant deux gros blocs de grès, quelques marques peintes à même le roc symbolisent les circuits destinés aux amateurs de varappe qui viennent pratiquer leur passion de la grimpe sur l’ensemble du massif de Fontainebleau. Sur la fin du sentier des platières, le circuit de promenade bifurque sur la droite vers un escalier de caillebotis protégeant de l’érosion la pente de sable. Mais je descend plutôt sur la gauche, par un sentier pavé de pierres taillées dans le grès, en direction des Gorges de Franchard et de la Route Amédée. Celle-ci est barrée à mi-chemin : la zone est interdite d’accès en raison de roches instables sur ces pentes sableuses. Je continue donc sur la route des Gorges de Franchard en passant non loin de l’Antre des Druides. La brume, le quasi silence et le froid environnants contribuent à donner une ambiance presque mystérieuse à ce lieu. Je fais un petit détour jusqu’au carrefour St Mégrin, o๠se trouve un Séquoia géant qui, avec son écorce brun rougeà¢tre et ses branchages denses et bien verts, détone un peu avec les chênes ou hêtre effeuillés en cette fin d’automne. Petite pause assis sur le banc à proximité du Séquoia, puis je reprends la promenade pour passer à côté de la Mare aux pigeons , située à quelques centaines de mètres du parking.
Platières et chaos rocheux au dessus des Gorges de Franchard